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chaerophanie

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13 juin 2011

Jancovici

http://www.espci.org/fr/jancovici

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10 juin 2011

consomation.

Au comencement de ce blog, j'aivais énumérer 6 questionement sensé orienter les articles qui y serais publié.

Certes, elle n'ont pas encore été dévellopé comme je l'avait anoncer, pourtant je voudrait ajouter un 7 questionnement qui me parait ce soir essentiel.

 

"Qu'est-ce réellement la consomation et que peut-on en faire ?"

 

Ce soir parce que je viens de lire un hors séries du magazine "Sciences Humaines" consacré à la consomation. Comme partout ailleurs, j'ai des connaissances assez médiocres en la matière, néanmoins cette lecture m'a mieux éclairé sur les enjeux qui se cachent derrière se therme de consomation si présent dans notre quotidien. c'est aussi une façon de mémoriser et de laissé une trace de ma lecture.

 

La consomation semble avoir de nombreux role. économique, social et politique.

Economiquement, elle à un role fondamentale. étant donné que toute production à pour vocation la consomation, quelle place joue-t-elle dans l'autoproduction ? La notion de travail est visiblement bien traiter par le marxisme entre autre, mais quelle valeur à le travail produit au yeux de la collectivité ? Je ne trouve pas concevable que la fin de toute choses soit purement utilitaire de même des productions de pure vacuité. Il faut donc se posé l'incomensurable question : de quoi avons nous besoin ? Car si l'activité humain est indispensable à la vie tel que je le pense alors la production doit trouver un sens.

Sociallement parlant le consumérisme et la logique de croissance et largement critiqué. Néanmoins, originellement, la consomation avait pour vocations d'atténué les inégalité entre les classes sans pouvoir prétendre à l'utopie de les effacer complètement. Mais l'erreur de viser la consomation comme consolation me parait évidente. A moins que l'on admète que la consomation s'oppose à l'ascèse religieuse qui me semble être une habération. Si l'on associe la consomation aux moyens de se procuré du plaisir en dépassant la notion matériel du therme, alors concevoir la consomation du sexe, des sentiments et des diverses aspirations humaines m'amène à penser  qu'il s'agit d'une nécéssité humanitaire indéniable sujet à de profond égarement dans le monde moderne. Une des questions délicates est que lorsque l'on rentre dans le monde du désirs intervient inévitablement la notion de séduction, si insaisissable, qui est économiquement parlant représenter par l'ensemble de ce que l'on apelle le marketing et la publicité. Des techniques porteuses de problèmes éthiques à mon sens monumentaux.

Politiquement parlant, il me semble que derrière les thermes à conotation économique de production et consomation se cache la problématique de la qualité des rapports et des échanges humains. Quels système, ou quel considération permetrais de faire en sortes ques ses rapports et ses échanges puissent se réaliser dans des conditions les plus souhaitable et éthiques possible. Et comment considérer le vecteur monétaire ou un quelconque équivalent. Si l'on l'on comence à parler de monaie et de système de valeur, il je croix qu'il faut inévitablement alors se questionner sur l'organisation pseudo bancaire.

 

Vaste et fertil sujet de réflexion que semble être la consomation/production. Il faudrait lire un peu pour ratrapper le vide intersidérale de mon ignorance en la matière, c'est élémentaire.

7 juin 2011

Respect de minorités, un principe fondamentale ?

Un proffesseur d'histoire ma demandé ce qu'était la démocratie. Je n'ai plus su quoi répondre.

Amusant, moi et mes prétentions des qu'il s'agit d'évoluer dans le monde réel.

 

Celui-ci mettait en avant que la démocratie, été avant tout un gouvernement dont l'ambition été le repect de chaque minorité. Les exemple était, d'une part la nazisme ave un hitler appuyer par son peuple et proferant des abomination envers des population sémithes, handicapé et homosexuels qui n'était pas une démocratie, ainsi que des régimes transitoires tel que la dictature de Degaule à la fin de la seconde guerre mondiale.

 

Il y a plusieur choses.

- La nécéssité d'organisation épicratique lors de situation exeptionel pour maintenir l'ordre, questionnement on ne peut plus complexe que je n'oserai pas attaquer ici.

- La notion d'individus, de groupe et la problématique des rapports existants entre différents sous-groupes coexistants. Vaste domaine de reflexion qui rend cette définition de la démocratie pertinente. Néanmoins, sans aprofondir réellement non plus, ilme semble bon simplement de signaler que le principe de "respecter les minorité" comme qualité première d'une démocratie me semble assez discutable.

- Enfin, La réelle motivation de mon intervention, ce trouve dans le biais fondamentale qui est fait à la notion de démocratie, tel que je l'entend, avec cette description qui en fut faite. Car annoncer que le principe fondamentale d'une démocratie est de respecter les minorités, aussi louable et humaniste que puisse être la démarche, consiste à amender la létimité du peuple par ce principe ci qui lui serait plus valus. D'ou l'absolue non sens assez dérangeant de que faire des minorités qui ne veulent pas respecter les minorités ? Concrètement aussi inévitable que puisse être une réponses politique à ce genre de situation, elle ne saurait en aucun cas être démocratique selon cette définition, et étant donné que la vie sociale impose forcement de telle actes politiques, je ne choisirais pas de définir ainsi la démocratie.

 

***

 

Les rapports sociaux son d'une effroyable complexité. Il me semble, qu'en therme de psycologie, les premiers rapports qu'a le nouveau née avec l'autre sont ceux qu'il entretiens avec sa mère et il me semble que les deux qualité fondamentales de cette relation sont le besoins et la frustration. C'est sans grande prétention que je choisit de considéré les rapports sociaux avec pour fondement cette dualité. Il est certains que la question ne se résume pas à cela mais il me semble que dans les limites de la lucidité de mon regards superficiel, ce sont las les seuls outils qui sont à ma dispositions pour développer des analyses relativement pertinentes.

Ainsi dans le complexe jeu des rapports sociaux, le mots respect prend un sens soudain très obscure. Pour ne pas dire antinomique, car si dans le rapports entre individualité et collectivité, minorité et majorité; les rapports de forces peuvent être aussi enrichissants de destructeur le mot respect peut revetir bien des apsect en fonction de la particularité des cas.

Quelle genre de respect doit-il êstre témoigné à l'égard des personnes se mettant dans des situation de risques, comme les fumeur et les conducteur en excés de vitesse et quelle doit être le respect témoigné à l'égard des cotributeur de la sécurité sociale ?

Certes sont sont là des problématiques incontournables et cruciales, néanmoins le mots respect ne me semble pas réellement apporter d'éclairement. De plus, Il fait apelle à un ensemble d'axiome inévitablement préhétablie ce qui en fait à mon sens un argument insensé et démagogique. J'ajouterai que recourir à un raisonement axiomatique est plus proche d'une dictature de l'esprit digne de la scolastique moyen-ageuse que de la démocratie.

***

Il y été dit que le respect des minorité etait le fondement de la démocratie. Qui à dit ça ? Car si les partisans de cette avis venait à l'inscrire dans la constitution, légitimé par leur foi en la vérité de cette pensée, alors ils aurait de fait bafoué la démocratie.

Pourquoi ? Parce que l'idée, sans être dépourvus d'interet est suffisement complexe pour que je doute qu'elle puisse jamais être véritablement tranché.

Pour être simple la démocratie est définis comme étant la souverainté du peuple sur lui même. Et cette souveraineté prend naissance dans la participation au questionnement sur le sens que vont prendre les action politiques qui seront mené en sont nom. Et pour cela, j'oserai admettrai qu'il est fondamental, aussi illusoir que cela puisseparaitre en l'état actuel des choses, que le peuples ai les moyens de comprendre et de participée au débats de façon éclairée. Eclairée signifie pour moi qu'il soit en mesure d'aprécier dans des proportions minimum l'enssemble des apports des travaux humains qu'il soit scientifiques, philosophiques, historiques et quoi que ce soit d'autre qui puisse sucité sont interets dans le but d'orienté ses reflexion.

Cela à mon sens englobe par essence la question de la nature du respect dut au minorités.

Si cela n'est pas réaliser, ou plutot si  on ne tend pas à ce que cet idéal soit de plus en plus réel, que se soit causer par un renoncement du peuple et/ou par acaparement du savoir par les dépositaire réel du pouvoir dans l'imédia, alors la démocratie est inexistante.

C'est le cas, il me semble et nous en sommes bien loin, mais je ne vois pas de plus beau defis à relever.

 

 

27 mars 2011

pourquoi demandez pourquoi ?

L'état actuel de notre ingénieurie et les promesses des progrès avenir de la science laissent supposé que l'homme à un pouvoir manifeste. Donc il met en oeuvre une volonté et semble effectuer des choix. Le pourquoi du mécanisme choisi et de la finalité de ça décision se doivent donc d'être expliqué et justifié dans le cadre d'une aspiration sensé, rationel et démocratiques. D'autant plus que l'application des sciences concerne l'humanité toute entière et que l'hégémonie de la technocratie devrais bientot sortir des son abscure royaume abrité derrière des dialectiques indéchiffrables pour étendre un empire totalitaire sans précédent sur l'existance humaine.

L'absence de se questionnement dans la sphère publique est peut être la plus grave défaillance du monde moderne.

18 février 2011

222

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19 janvier 2011

Démocratie.

La démocratie est devenu une sorte d'entité mystérieuse incontournable.

Quasiment tout le monde, ou en des thermes plus précis, au seins de l'imaginaire collectif majoritaire occidentale, la démocratie est quelque chose d'indispensable, qu'il faut conserver à tout prie. Cela est une profonde amélioration. Le problème c'est que c'est devenue une simple évidence et le sens, la raison, pour laquelle il est devenu évident que le maintient et l'amélioration d'une situation démocratique, semble se perdre.

La notion de justice, de bien commun et de légitimité du peuple sont évidement présent avec celle de la démocratie. Mais à partir d'un certain niveau de réflexion, sainement objective, l'évidence de la nécessite de ces notion s'érode face à l'inévitable relativité.
exemple : les divers débats qui questionnent la légitimité de la pression d'une partie de la société sur une autre. La fiscalité est injuste avec les personnes gagnant plus d'argent, car il le gagnent de façon juste et leur mérite doit être respecté.

Bref à mettre en avant la nécessité d'état de fait démocratique dans des cas spécifique et le questionnement prioritaire de moyens à mettre en place pour ça réalisation, on en oublie le pourquoi du comment.

***

Cela est juste, mais relativement, on pourrais considéré qu'il s'agisse d'un problème qui n'as pas la priorité face justement à ces situations spécifiques aux conséquences immédiates. Cela est extrêmement pertinent.
Cependant il est simplement question de parvenir à concilier ses deux aspect, pour que le sens perdure. Ce qui est essentiel en politique et particulièrement en démocratie.

Mais il y à un autre facteur situationnel qui rend cette remarque d'autant plus importante. Les argument et la conception politique de la dictature. Cela n'est pas si ridicule. A mon sens, de nombreux éléments de cette conception de la politique sont présent au seint de notre organisation républicaine. Ce sont des argument sensé, pertinent et qui méritent considération.
Mais étant attaché au principe démocratique, il est pour ma part essentiel d'avoir sur eux un œil extrêmement critique.


Concrètement, les arguments dictatoriaux mettent en relief un aspect profondément réaliste et pragmatique de l'état des choses. C'est en ce point qu'ils sont intéressent et c'est pour cela qu'ils sont dangereux. Car elle obstrue les perspectives d'évolutions.
Grossièrement : Il faut admettre que certains individus de la population possède une technique qui rend leur jugement supérieur dans leur domaine de maitrise. Le médecin exerce une dictature sur ses patients. Et malgré le principe de concurrence, l'ensemble de la population qui possède le savoir médicale exerce une dictature sur celle qui ne le possède pas. C'est inévitable. Tout le monde ne peut pas être médecin et il est hors de propos de se sentir menacer par ce monopole. Je ne voit pas ou est l'objectivité à se voir menacer par tout choses.

Cependant, je pense que cela suscite des interrogations lorsqu'il s'agit d'un domaine de la technique d'une autre nature telle que la politique ou la finance. Car ses domaines concerne tout le monde autant que la médecine, mais en plus, par essence ils naissent inévitablement d'une association collective. Le fait cette collectivité subisse une dictaure me semble absurde.

Que répondre au technicien de la politique s'il met en avant le fait qu'il connait mieux le sujet que vous et que votre avis est caduque. Lui ne vient pas vous expliquer votre travail, donc laissez le faire le sien. C'est cela l'essence de la dictature. Et cela ce légitime beaucoup trop bien vus l'état actuel des consciences de la société.

***

C'est là qu'intervient la démocratie. La démocratie qui rappel la valorisation et la prise en compte de chaque consciences concerner par les problèmes d'ordre public. Et cela passe inévitablement par le savoir et sa transmission.

La première chose qui importe pour un être humain est de comprendre son environnement, cela vaut pour le chasseur et la forêt, cela devrait aussi valoir pour l'homme moderne et la société. Cela semble évident, aquis. Mais de mon expérience et de mes observations, c'est en tain de ce perdre très rapidement. Et avec une partie du sens du principe de démocratie.

C'est pour cela que tout le monde devrait savoir lire et écrire, mais cela ne suffit pas.
Je formulerai cela de façon étrange car il me semble important de simplement donner les clefs. Non pas ouvrir la porte et installer un tapis roulant pour la traverser. Non, il faut simplement ne pas tuer le désir de comprendre les choses qui nous entourent en érigeant des obstacles ayant clairement le rôle de filtre. C'est une question de langage et de reconsidération des objectifs.

Voila à mon sens le plus grand enjeux actuel de notre monde.
La question est si délicate et si capitale, que le populisme en deviennent véritablement criminel.

19 octobre 2010

mise au point

Je ne m'étendrait pas maintenant sur ce ressentit un peu vague qui vogue ces temps si : demain ça pue.

Ici, il est question de ce que la pensée des hommes est capable de produire comme révolte, face à ce qui est devenu un état de fait ; du moins depuis ma propre subjectivité ou sinon au vus de l'insignifiance épidémique qui se manifeste à tous les stades des institutions de notre société.

Il ne s'agit pas vraiment d'un racolage d'idéaux transcendant ou de masturbation intellectuel. Pour ma part, avec mes origines profondément septiques et nihilistes, mon doute et mes critiques corrodent un peu trop facilement la moindre idée qui me tombe sous la dent. Cela n'aide pas à avancer. Cependant, s'il s'avère que l'homme à un effet manifeste sur lui-même et son environnement (peu importes les objections ici obsolètes de l'existence relative, de la maîtrise et de la légitimité de l'effet en question) Donc, si cet effet arrive à être mesurable, ou du moins appréciable, il me semble qu'il est du devoir de l'homme d'en usée à l'aide de son sens critique, de son jugement et de sa subtilité. Je pense qu'il est temps d'admettre l'existence d'un monde effectif, mesurable et appréciable quel qu'en soit ses limites, dont nous sommes directement responsable.

Il s'agira donc ici de considération et de critique sur un plan Politique qui se situe à un niveau inhabituel du thermes, sujet aux aléas de ma subjectivité, qui viendra à être préciser ultérieurement.

***

Mais pour l'instant je veux poser 6 questions qui orienterons la suite de ce blog :

- Comment réévaluer la notion essentiel et de nos jours particulièrement brouillonne du travail et/ou du mérite.

- L'immortalité étant absurde, notre mortalité étant inévitable, quel sens devons nous donnez à notre vie ?

- Que faire au sein d'une société des individus inadaptés et/ou réfractaire ?

- Comment permettre au peuple d'assouvir réellement sa souveraineté sur lui-même ?

- En quoi consiste la subtil différence entre pouvoir et liberté ?

- Comment doit-on considérer la responsabilité dans une société collective composé d'individus autonomes ?

Voila pour commencer.

***

Les participations quelconques seront les bienvenus.

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